Une passion au service de la vape n°3
Du champ jusqu’en boutique !
Bien avant la mise en flacon d’un e-liquide, ses matières premières peuvent parcourir de nombreux kilomètres. Chez VDLV, nous faisons le choix quotidien de la traçabilité et de l’économie locale. C’est pourquoi, l’ensemble du tabac dont nous avons besoin afin de produire notre nicotine vapologique provient de nos belles régions françaises (Nouvelle-Aquitaine et Auvergne-Rhône-Alpes), riches d’un savoir-faire unique. Nous vous proposons de découvrir, à travers plusieurs témoignages, celles et ceux qui cultivent ce tabac qui ne sera jamais fumé.
Pour ce troisème épisode, direction Cause-de-Clérans, en Dordogne, où la famille Camaret cultive 2 hectares de tabac vapologique pour VDLV.
Depuis combien de temps cultivez-vous du tabac sur la région ?
Pour commencer, nous sommes nés sur des exploitations tabacoles. Depuis 1985, date de notre installation, nous cultivons du tabac dans notre région, le Périgord Pourpre. Le tabac, fortement implanté en Dordogne ainsi que sur d’autres départements d’Aquitaine, a permis de maintenir bon nombre de petites exploitations, ce qui n’est plus forcément le cas aujourd’hui.
Depuis combien de temps êtes-vous partenaires de VDLV ? Est-ce que ce partenariat a fait évoluer vos habitudes ou vos méthodes de travail ?
Pour nous, c’est la deuxième année que nous sommes partenaires de VDLV. Ce partenariat a permis de poursuivre la culture du tabac, en grande difficulté, avec de nouvelles méthodes. Malgré une contrainte importante avant écimage (coupe des bourgeons) – rentrer, sécher, conditionner, demeurent les points positifs de cette culture pour la nicotine.
Quel impact cela a eu sur votre exploitation?
Cela nous permet de continuer une culture que nous connaissons bien, tout en étant mieux rémunérés.
Ce tabac cultivé pour VDLV ne sera jamais fumé. Il servira à produire une nicotine qui sera utilisée dans des e-liquides. Qu’est-ce que cela vous fait ?
Pour des raisons de santé publique, il est plus valorisant pour nous de parler de cette nouvelle culture encore méconnue. Suite à la visite de l’entreprise VDLV, cela nous a encouragé dans cette démarche, sachant que la nicotine est extraite de façon propre. C’est une nicotine 100% Française.
Avez-vous une anecdote à partager avec nous ?
Lors de la visite de l’usine de VDLV, nous nous sommes de suite sentis impliqués dans ce projet commun au sein d’une entreprise où l’humain a sa place. On sentait un intérêt pour les dirigeants de VDLV de rencontrer les tabaculteurs sur le terrain. Le rendez-vous sur notre parcelle a, par ailleurs, été très chaleureux (fin juillet, 40°).
Un grand merci à nos partenaires qui ont pris le temps de répondre à ces questions et qui nous permettent de partager cette belle aventure !